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Peggy McCracken, Women and medicine in medieval French narrative, Exemplaria, 5, 1993 : p. 239-262
Peggy McCracken, Women and medicine in medieval French narrative, Exemplaria, 5, 1993 : p. 239-262
Passe en revue les mixtures, potions, breuvages (pas de précisions sur les ingrédients utilisés) présents dans les grands textes littéraires. Les femmes sont miresse, pas doctor. Rôle de l'étude des urines dans l'évolution de la maladie. La femme qui soigne comme un magicien est valorisée (chez Marie de France), mais le cas est plutôt rare.
13 œuvres traitées
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Marie de France |
Eliduc |
D'un mult ancien lai bretun / Le cunte e tute la raisun / Vus dirai, ai cum ieo entent
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Adam de la Halle |
Jeu de la feuillée |
Segneur savés pour quoi j'ai mon abit cangiet ? / J'ai esté avoec feme ; or revois au clergiet
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Chrétien de Troyes |
Erec et Enide |
Li vilains dit an son respit / Que tel chose a l'an an despit
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Béroul |
Tristan |
/// Que nul senblant de rien en face./ Com ele aprisme son ami, / oiez com'el la devanci
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Chrétien de Troyes |
Conte du Graal |
Qui petit seme petit quialt, / Et qui auques recoillir vialt
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Collectif |
Roman de Renart |
Pierres qui son enging et s'art / Mist es vers faire de Renart / Et d'Isengrin son chier compere
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Anonyme |
Raoul de Cambrai |
Oiez chançon de joie et de baudor ! / Oit aves auquant et li plusor / Del grant barnaige qui tant ot de valor
