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Geneviève Pichon, La lèpre et le péché. Etude d'une représentation médiévale, Nouvelle revue de psychanalyse, 38, 1988 : p. 147-157
Geneviève Pichon, La lèpre et le péché. Etude d'une représentation médiévale, Nouvelle revue de psychanalyse, 38, 1988 : p. 147-157
Commentaire : Dans l'Ancien Testament, la lèpre, impureté, est un châtiment divin; dans le Nouveau Testament, le Christ purifie les lépreux; au moyen-âge le lépreux apparaît dans la littérature comme un être malfaisant et lubrique. Pour BERNARD de GORDON, l'excès de mélancolie est une des causes primitives de la lèpre. Chez GUI de CHAULIAC et THOMAS de CANTIMPRE, transmission héréditaire de la lèpre.
9 œuvres traitées
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Gautier de Coinci |
Miracles de Notre Dame |
A la loenge et a la gloire / En ramembrance et en memoire
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Béroul |
Tristan |
/// Que nul senblant de rien en face./ Com ele aprisme son ami, / oiez com'el la devanci
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Anonyme |
Baudouin de Sebourc |
Baron, or faites pais, pour Diu le tout poissant / que Jhesu Cris de gloire, qui dedens Bethleant
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William de Waddington |
Manuel des péchés |
La vertue del seint espirit / Nus seit eydant en cet escrit
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Collectif |
Roman de Renart |
Pierres qui son enging et s'art / Mist es vers faire de Renart / Et d'Isengrin son chier compere
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Jacques Bretel |
Tournoi de Chauvency |
Amors est biaus commancemans / Or doint Diex que li finemens
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Anonyme |
Parise la duchesse |
Seignor, plait vos oir gloriose chanson / Par itel covenant que Dex grant ben vos dont ? / C'est de l'ost Charlemaine, le nobile baron
