Frédéric Duval, D'une Renaissance à l'autre : les traductions françaises du Corpus Juris Civilis, La traduction entre Moyen Âge et Renaissance, Turnhout, Brepols Publishers, 2017 : p. 33-68
Frédéric Duval, D'une Renaissance à l'autre : les traductions françaises du Corpus Juris Civilis, La traduction entre Moyen Âge et Renaissance, Turnhout, Brepols Publishers, 2017 : p. 33-68
>Anonyme|Ordinaire|Mi conpaignon vos vos estes grant pieça entremis que ge vos feisse un livret par quoi li demandierres fust ensingniez comment il doit demander
>Anonyme|Livre de justice et de plet|Premierement savoir convient a cui est savoir droit d'ou descent le non de droit
>Anonyme|Digeste|Nus ne set mieuz de nous que touz li establissemenz de nostre chose commune
>Anonyme|Digeste|Et aprés ce puis que aucuns ans furent passés et les .xii. tables furent fetes, li pueples contendoit as majeurs de la cité
>Anonyme|Code Justinien|El non del Pere et del Fill et del Seint Esperit, ci commence li premiers livres del Code au tres seint prince Justinien, l’empereeur
>Anonyme|Code Justinien|Nos avons proposé a metre avant par l'aide Dieu
>Anonyme|Code Justinien|De toutes les choses qui sunt el mont, si sunt majo// et plus sont a honorer celles qui a Dieu apar[tiennent] et pour ce devons dire
>Anonyme|Code Justinien|Li empereres Justinianus dit : Nos avons proposé par l’aide de Deu le tot puissant a metre en commune remembrance les choses que plusor prince voudrent amender ça en arrieres porce que nul d’els ne l’osa mener a fin
>Anonyme|Code Justinien|L’empereur Justinian au commencement de ceste euvre met avant trois constitucions. La premiere si est telle et dist doncques que mains aultres empereurs qui furent avant lui eurent courage
>Anonyme|Institutes|Il couvient que la maiesté l'empereur soit aornee
>Richard Donebault|Institutes|Cil qui les drois nous baille et livre / enseigne que le premier livre / d'Institutes icy commence / qui est la clef de la science
>Anonyme|Infortiat|Paulus dit : La cause de douere est toz jorz et en touz leus plus favorable que autres, car c’est li comuns preuz que li douere soient gardé as femes
>Anonyme|Authentique|Porce que nos somes embesoignié des cures de la chose commune et ne volons penser a nule petite chose