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Chanson | Clément Marot Vous perdez temps de me dire mal d'elle

Comment citer cette fiche ?

Claire Sicard et Pascal Joubaud, notice de "Chanson, Clément Marot" dans la base Jonas-IRHT/CNRS (permalink : http://jonas.irht.cnrs.fr/oeuvre/24399). Consultation du 26/01/2025

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+ – Identification
Titre Chanson
Commentaire sur le titre
Auteur Clément Marot
Commentaire sur l'intervention de l'auteur
Incipit Vous perdez temps de me dire mal d'elle
Niveau d'incipit Texte
Commentaire sur l'incipit
Forme vers
Commentaire sur l'œuvre La chanson ne figure dans l'Adolescence clémentine qu'à partir de l'édition Lyon, Dolet, 1538.
Edition de référence Defaux, 1990 (T1)
Pièce
Datation détaillée Entre 1532, date de la première parution de l'Adolescence clémentine et 1538, date de la première attestion imprimée de cette chanson
Langue principale oil-français
Etat de la saisie validée
Autres titres
  • aucun autre titre.
Autres intervenants
Autres textes repères
  • aucun autre texte repère
+ – Description
Section : Ensemble
Versification Nombre de vers 10
Type de vers Variables 4 décasyllabes + 4 hexasyllabes + 2 décasyllabes
Schéma de rimes ABABCCDDEE dizain layé
Alternance des rimes féminines et masculines Non
Schéma des rimes masculines et féminines FFFFFFFFFF avec tolérance d'une rime en -es (rime D)
+ –Thésaurus et événements
  • aucun mot clef
Aucun événement
+ – Œuvres associées
3 associations
> A pour contrafactum : François Habert | Cantique | Vous perdez temps de me venir reprendre
> A pour contrafactum : Anonyme | Chanson | Vous perdez temps, o Juges de la terre
> A pour contrafactum : Clément Marot | Chanson | Vous perdez temps de me venir defendre
+ –Témoins
1 témoin(s) Développer l'arborescence Replier l'arborescence
+ - Imprimé : La Fleur de poesie francoyse, Paris, Alain Lotrian, 1541-1545
+ – Bibliographie
1 référence(s)
> Gérard Defaux, Clément Marot, Œuvres poétiques, Classiques Garnier, 2 vol, Paris, 1990-1993
Commentaire : t. I, p. 196-197 et 599-601.
+ –Liens externes
+ – Signature
  • Claire Sicard et Pascal Joubaud, 29/07/2020, notice d'après reproduction