De la misere et angustie de l’homme de sainct Isidore ou sont deux interlocuteurs assavoir l’homme et raison. L’homme : Ha miserable et infortune que je suis mon ame estant agitee de tant d’angusties et passions
Incipit, Prologue : A monseigneur mon cousin messire Jehan Camu, maistre en la chambre des comptes du roy sa fameuse ville de Dole. Quant j’ay longtemps consideré les miseres de ce temps calamiteux ou nous sumes mesmes les grandes heresies et abhominables erreurs continuans les cruelles guerres
>Jacques Elfassi, La réception des Synonyma d’Isidore de Séville aux XIVe-XVIe siècles. Les raisons d’un succès exceptionnel, Cahiers de recherches médiévales et humanistes. Journal of medieval and humanistic studies, 2008 : p. 107-118
Commentaire : note 15
>E. Toubin, Livre de raison de la famille de Froissard-Broissia de 1532 à 1701, Mémoires de la Société d'émulation du Jura, 1886 : p. 27-105