>Michault Taillevent|Passetemps|Je pensoye n'a pas sept ans / Ainsy qu'on pense a son affaire / par maniere de passe temps / ou si comme en lieu de riens faire ; / mais à renouer et refaire / trouvay trop en mes pesans fais : / a longue voye pesans fais.
>Anonyme|Débat de la noire et de la tannée|Mes dames j'aporte nouvelles / De deux femmes cointes et belles
>Alain Chartier|Livre des quatre dames|Pour oublier melencolie / Et pour faire chiere plus lie, / Un doulz matin es champs yssy, / Ou premier jour qu'Amours ralie
>Arnoul Greban|Mystère des Actes des Apôtres|O Jesus, Dieu des cieux / Combien est glorieux
>Geoffroi|Martyre de saint Bacchus|Gieffroy, qui voit que la matire / De cestui monde mal s'atire
>Guillaume Coquillart le fils|Débat des dames et des armes|Or est le temps passé, passé, / le bien pourchassé, pourchassé,
pp. 390-8
>Guillaume Coquillart le fils|Droits nouveaux|Frisques mignons, bruyans enfans,/ monde nouveau, gens triumphans,
>Guillaume Flamang|Mystère de saint Didier|Aristote philozophe notable / Mect ung notable utile a concepvoir / Quant il nous dict que l'homme raisonnable...
>Pierre Gringore|Les Menus propos|Se je vous doy, je vous payerai; / Ce sont les gaiges de Trevieres...
p. 408-409
>Pierre Tasserye|Monologue seul du pèlerin passant|Ainsy com pelerin pasant / qui desire aler voir le monde
p. 361
>Roger de Collerye|Sermon pour une noce|Ce theume que j'ay devidé / Est escript d'une grosse plume
p. 359, 411-414
>Robert Messier|Adresse de Salut|In nomine Patris et Filii et Spiritus Sancti. Amen. Audi, filia, et vide et inclina aurem tuam
p. 412
>Anonyme|Blâme des femmes|Qui femme prent a compagnie / Oiez s'il fait sens ou folie...
p. 400-401
>Anonyme|Caquet des bonnes chambrières|Chamberieres, vueillez moy pardonner / Si je pretendz descouvrir voz finesses...
p. 419-422
>Anonyme|Epitaphe de maître Jean Trotier|Ung soir bien tard de travail assomé / Las de penser et d'avoir asommé...
p. 388
>Anonyme|Loyauté des femmes|Quant on vivra sans boire ne manger / Quant les poissons sans eaue nageront
pp. 400-2
>Jean le Happère|Terrible vie, testament et fin de l'oison|Une ouaye fut en ceste annee / L'an mil cinq cens et XXVI / Jamais n'en fut telle couvee / Ainsi je crois en mon advis