Un tres noble docteur disoit qu'il n'est nulle temptations quelle qu'elle soit qui se on met sa pensee es plaies de Ihesucrist et qu'on li prie que par le merite de son precieux sang...
>Marie-Elisabeth Henneau, La Cistercienne et le livre: analyse de quelques exemples liégeois entre le XIIIe et le XVe siècle, Livres et lectures de femmes en Europe entre Moyen Age et Renaissance, Turnhout, Brepols, 2007 : p. 175-190