Commentaire sur l'œuvre |
Traduction provençale des Flores chronicorum de Bernard Gui, faite, selon Thomas (1921, p. 181) peu après la mort de Bernard Gui. Il est conservé dans un manuscrit unique dont le premier et le dernier feuillets ont été mutilés, et ainsi, "on ne peut affirmer que le traducteur ait gardé l'anonyme, mais le fait est probable" (Thomas, op. cit). La traduction repose sur la quatrième édition du texte latin. "Le système phonétique et le lexique paraissent indiquer comme lieu d'origine l'Albigeois ou le Querci." |