Bien emploie son cuer et son corage, / Qui bien vos sert, douce Virge Marie, / Car il n’a pas en vos servir servage, / Ainz est plus haut qui plus se humelie
>Jules Camus, Notices et extraits des manuscrits français de Modène antérieurs au XVIe siècle, Revue des langues romanes, ser. 4, vol. 35, 1891 : p. 169-262
>Arthur Langfors et Edward Jarnstrom, Recueil de chansons pieuses du XIIIe siècle, Société littéraire finnoise, 1910-1927
>Holger Petersen-Dyggve, Moniot d'Arras et Moniot de Paris, trouvères du XIIIe siècle, Mémoires de la Société néophilologique de Helsingfors, Helsingfors, 1939