13 référence(s)
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Stanley C. Aston, « A manuscript of the Chronicle of Mathieu d'Escouchy and Simon Greban's Epitaph for Charles VII of France » Mélanges Albert C. Baugh, Philadelphia, 1961 p. 299-344
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Stanley C. Aston, « A further note on Mathieu d'Escouchy and Simon Greban » in Mélanges de langue et de littérature du Moyen Age et de la Renaissance offerts à Jean Frappier (Publications Romanes et Françaises 112), Genève, Droz, 1970 p. t. 1, p. 35-40
Résumé : CR Bulletin codicologique n° 14, Scriptorium 25, 1971, p. 117 et Slerca dans Studi Francesi 44, 1971, p. 330
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Jean-Alexandre BUCHON, Collection des chroniques nationales françaises, écrites en langue vulgaire du XIIIe au XVIe siècle, Paris, 1826-28
Résumé : 47 volumes
Commentaire : t. 35 et 36 ; réédition du texte de D. Godefroy, Histoire de Charles VII, paris, 1661, d'après le ms. Godefroy 241 de l'Insitut
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Maria Colombo Timelli, « Entre littérature et vie : le jeu chevaleresque dans la Bourgogne de Philippe le Bon » in Rencontres médiévales en Bourgogne (XIV-XVe siècles), Presses universitaires de Reims, 1992 p. 27 - 45
Résumé : Confrontation des sources littéraires et historiques à propos du jeu chevaleresque : tournoi, joute et surtout pas d'armes. La littérature présente un héros plus individualiste, sous un jour optimiste puisque le chevalier est maître de sa vie. La réalité, à l'inverse, est cruelle pour les héros bourguignons lorsqu'ils sortent du champ du jeu et du rêve littéraire.
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G. DU FRESNE DE BEAUCOURT, Chronique de Mathieu d'Escouchy, Société de l'histoire de France, Paris, 1863
Commentaire : éd. d'après les mss fr 4907 et fr 23282 de la BN
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Katherine EMERSON, « Who witnessed and narrated the Banquet of the Pheasant (1454). A codicological examination on the account's five versions » in Fifteenth Century Studies, 28 (2003) : p. 124-137
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G HALLIGAN, La chronique de Mathieu d'Escouchy, édition du ms A (Cambridge, Ste Catherine College), 1960
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G HALLIGAN, « La Chronique de Mathieu d'Escouchy » in Romania, 90 (1969) : p. 100-10
Commentaire : Description des 5 manuscrits
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Jacques Lemaire, « La conception de l'histoire chez les chroniqueurs bourguignons d'après les prologues de leurs oeuvres » in Histoire et littérature au Moyen Age. Actes du colloque du Centre d'Etudes Médiévales de l'Univ de Picardie (Amiens, 20-24 mars 1985) (Göppinger Arbeiten zur Germanistik 546), Göppingen, Kummerle, 1991 p. 235 - 249
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te Lindner, « L'influence du roman chevaleresque français sur le pas d'armes » in Les sources littéraires et leurs publics dans l'espace bourguignon (XIVe-XVIe s.). Rencontres de Middelbourg/Bergen-op-Zoom (27-30 septembre 1990) (Publication du Centre européen d'études bourguignonnes (XIVe-XVIe s.) 31), Neuchâtel, 1991 p. 67 - 78
Résumé : Pas de l'Arbre Charlemagne (1443, Marsannay-la-Côte près de Dijon, Pierre de Bauffremont, seigneur de Charny) ; Pas de la Belle Pèlerine (1449, près de Saint-Omer, Jean bâtard de Saint-Pol) ; Pas de la Fontaine des Pleurs (1449-1450, près de Saint-Laurent-les-Chalons, Jacques de Lalaing) ; Pas du Chevalier au Cygne (1454, Lille, Adolphe de Clèves) ; Pas du Perron Fée (1463, Bruges, Philippe de Lalaing) ; Pas de la Dame inconnue (1463-1464, Bruxelles) ; Pas de l'Arbre d'or (1468, Bruges, Antoine de Bourgogne) ; Pas de la Dame sauvage (1470, Gand, Claude de Vauldrey, seigneur de l'Aigle) ; Pas du Chevalier esclave de la belle géante (1495, Worms, Claude de Vauldrey) ; Pas de Carignan (1504, Philibert le Beau, duc de Savoie). Passo de la Fuerte Ventura (1428, Valladolid). Parallèles littéraires entre Pas de la belle Pèlerine et Alixandre l'orphelin ; Pas de la Fontaine des Pleurs et Ponthus et Sidoine ; Pas du Chevalier au cygne ; Pas de l'Arbre d'or et Florimont ; Pas de la Dame sauvage et le Roman de la Rose (mais c'est une topique bien diffuse !! ; une certaine maladresse dans l'étude des aspects littéraires). Pas étudiés surtout d'après les chroniques d'Olivier de La Marche, Jean Molinet,Enguerrand de Monstrelet, Matthieu d'Escouchy.
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Jacques Paviot, « Les Honneurs de la cour d'Eléonore de Poitiers » in Autour de Marguerite d'Ecosse. Reines, princesses et dames du XVe siècle. Actes du colloque de Thouars (23 et 24 mai 1997), édités sous la direction de Geneviève et Philippe Contamine Thouars 23 et 24 mai 1997 (Etudes d'histoire médiévale 4), Paris, Honoré Champion, 1999 p. 163 - 179
Résumé : Eléonore de Poitiers (1444/1446-1509), fille de Jean de Poitiers et d'Isabelle de Sousa, devient demoiselle d'honneur d'Isabelle de Bourbon, 2e femme du futur Charles le Téméraire, en 1458; elle épouse en 1462 Guillaume de Stavele, vicomte de Furnes et devient veuve en 1469. Aaprès la mort d'Isabelle de Bourbon le 26 septembre 1465, elle entre au service de Marie de Bourgogne, duchesse de 1477 à 1482; puis elle devient dame d'honneur de Jeanne de Castille qui épouse Philippe le Beau le 20 octobre 1496.. Eléonore de Poitiers rédige les Honneurs de la cour entre juillet 1484 et août 1487. 2 copies modernes conservées : Paris, BnF, fr. 14353 et Besançon, BM, Chifflet 65..Le centre de référence du cérémonial est la personne du roi de France et le degré de parenté que l'on avec lui; la seconde règle est valable pour les femmes qui suivent l'état de leur mari, à l'exception des filles de France. Outre le cérémonial, les Honneurs de la cour comporte toute une série de notations et de souvenirs de la vie des cours de France et de Bourgogne de 1386 à 1484.Mots-clés :Litt féminine//Litt historique//Litt et société//Thème princesse//Thème reine//Thème femme//Eleonore de poitiers : honneurs de la cour//Honneurs de la cour : eleonore de poitiers//Theme cour//Theme hiérarchie//Georges chastellain//Matthieu d'Escouchy: Chronique// étude
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Michel Stanesco, « Le Banquet du faisan : de la fête courtoise au scénario rituel » in Rencontres médiévales en Bourgogne (XIVe-XVe siècles), PU de Reims, 1992 p. 47 - 67
Résumé : Etudie le Banquet du faisan, tenu à Lille en 1454 par Philippe le Bon, en le replaçant dans la longue tradition littéraire des voeux chevaleresques (Chanson de Roland, Narbonnais, Méraugis, Lancelot en prose...) et des études anthropologiques (Dumézil, Bakhtine, Boyer). Ces dernières montrent un lien entre festin et voeux guerriers. Ainsi pour prôner la Croisade, Philippe le Bon retrouve le geste symbolique par excellence : il essaye de ressouder la communauté chevaleresque par le moyen du repas festif, autrement dit, par le rite le plus archaïque qui soit.
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Françoise de Gruben, « Les chapitres de la Toison d'or vus par les chroniqueurs à l'époque bourguignonne » in Les sources littéraires et leurs publics dans l'espace bourguignon (XIVe-XVIe s.). Rencontres de Middelbourg/Bergen-op-Zoom (27-30 septembre 1990) (Publication du Centre européen d'études bourguignonnes (XIVe-XVIe s.) 31), Neuchâtel, 1991 p. 127 - 137
Résumé : Passage en revue de ce que les différents chroniqueurs racontent des chapitres de l'Ordre, de celui de 1430 à celui de1473. Déception en ce qui concerne Jean Lefèvre de Saint-Rémy et Jean Molinet.