André Moisan, L'exploitation de l'épopée par la Chronique du Pseudo-Turpin, Le Moyen Age, XCV, 1989 : p. 195-224
Montre comment la Chronique use de légendes épiques déjà répandues au début du XIIe, tout en donnant à l'ensemble de son oeuvre une tournure cléricale. Derrière Turpin se cacherait d'ailleurs le prêtre et pèlerin poitevin Aimeri Picaud qui en 1140 aurait apporté à Compostelle le Codex Calixtinus dont il aurait composé, outre la Chronique, le Liber sancti Jacobi. Mots-clés : Chronique du pseudo-turpin//Aimeri picaud//Chanson de geste//Codex Calistinus//