Ketih Val SINCLAIR, « Le gué périlleux dans la Chanson des Saisnes » in Zeitschrift für französische Sprache und Literatur, 97 (1987) : p. 68-72
Les rapprochements les plus étroits sont avec le lai de l'Epine, le Bel inconnu ignorant certains éléments et le Didot Perceval paraissant très éloigné des Saisnes.