ROBERTO CRESPO,, Due congetture fuorvianti : R. 1541 (Richard de Fournival), v. 15 e v. 26, Cultura Neolatina, 58, 1998 : p. 91-100
En s'appuyant sur un passage du Bestiaire d'Amours, Crespo, défend la leçon des manuscrits au v. 15 de la chanson Lonc tans me sui escondis. La solution proposée pour l'hypermétrie du v. 26 c'ains mais ne la vi or en ai est que ne la vi soit une normalisation de nel vi (le pronom dans sa forme picarde admet l'enclise), qui à son tour (dans la graphie nelui) cacherait nului, donc: si m'en serait pis / c'ains mais [nului]: or en ai / fait ma mortel anemie (v. 25-27) Mots-clés : Richard de Fournival//