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Didier Kahn, Généalogie de l’alchimie et interprétation alchimique de la Bible au xive siècle : qui fuerint primi inventores hujus artis, Archives d'histoire doctrinale et litteraire du Moyen Age, Tome 84, 2017 : p. 313-347

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Didier Kahn, Généalogie de l’alchimie et interprétation alchimique de la Bible au xive siècle : qui fuerint primi inventores hujus artis, Archives d'histoire doctrinale et litteraire du Moyen Age, Tome 84, 2017 : p. 313-347
On édite ici une généalogie de l'alchimie extraite des gloses du Textus alkimie (xive s.), érigeant Hermès Trismégiste en primus inventor et recourant au mythe des deux stèles préservant le savoir humain de la destruction du monde. Des sources sont identifiées ; un traité de magie hermétique, et un traité d'alchimie traduit de l'arabe, jusqu'alors inconnu, qui ouvre une discussion, très précoce, sur la possibilité d'une exégèse alchimique de la Bible. Le Qui fuerint est aussi une source directe du Livre attribué à l'alchimiste fictif Bernard le Trévisan (ca.1500), ce qu'on montre en les comparant.
+ -Sujets traités
1 œuvre traitée
> Anonyme | Le livre dit de Bernard le Trévisan | En invocant le nom de Dieu sans lequel nul aide ne est faicte car tout vient de luy, aux hommes de bonne voulenté car en homme de malle voulenté
+ -Thésaurus
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