Félix Lecoy, Lire a cors non pas a ordinaire, Romania, 110, 1989 : p. 245-246
Sens de l'expression : les courtiers sont comparés aux mauvais maîtres, plus soucieux de leurs propres intérêts que des intérêts qui leur ont été confiés.. «Dit des mais» d'un certain Gieffroy (1324) CR Le Moyen Français 30 (1992) 124, G. Di Stefano: Très fine note du Maître parisien sur le vers Por ce lisent a cors, non pas a ordinaire appliqué aux courtiers dans le Dit des mais (daté de 1324). Il s'agit d'une plaisanterie d'étudiant tirée de la terminologie de l'enseignement universitaire: les courtiers sont comparés aux mauvais maîtres, plus soucieux de leurs propres intérêts que des intérêts qui leur ont été confiés. Mots-clés : Gieffroy: Dit des mais//Dit des mais: Gieffroy//Vocabulaire a cors//Vocabulaire a ordinaire//