Aimo Sakari, Une satire virulente de l'amour troubadouresque, Miscellanea di studi in onore di Aurelio Roncaglia a cinquant'anni dalla sua laurea, Modena, Mucchi Editore, 1989 : p. 1211 - 1222
Etude, édition et traduction du poème S'eu tot me soi un petit malananz, attribué à Guilhem de Saint-Didier (PC 234, 17). Propose de l'attribuer plutôt à Guilhem de la Tor.