Jelle Koopmans, Un chacun n'est maître du sien Auteurs, acteurs, représentations, textes, L'écrit et le manuscrit à la fin du Moyen Age, Texte Codex et contexte, 1, Turnhout, Brepols, 2006 : p. 147-167
p. 149 ici, l'objet est plus ambitieux et plus modeste à la fois: la datation des pièces, et, plus encore, la logique et le système derrière de telles datations... p. 165 ces interrelations entre les différentes pièces [sicl. farces, sotties], qui se citent, qui se reprennent, qui, bref, semblent bien faire partie d'un répertoire [...] Cela voudrait dire que les textes imprimés du Recueil Trepperel et du Recueil Cohen ne sont nullement des rééditions de textes fort anciens, de farces typiques du XVe siècle voire du Moyen Âge, mais simplement de textes pamphlétaires si l'on veut, des textes polémiques sous forme dramatique. p. 165-166 De la même manière, l'on en vient à suggérer une certaine proximité entre le monde de l'imprimerie, ou au moins la personne de l'imprimeur, et le monde du théâtre, ou au moins celui des acteurs (peut-on parler aussi de l'auteur?).