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- Incipit,
10e proverbe :
Celuy qui met son cueur a Dieu / Il a son cueur et sy a Dieu / Et quy en autre lieu le met / Il pert son Dieu et cueur pert.
Texte entier, d'après Narbonne, BM, 6.
- Incipit,
11e proverbe :
Sy au monde veulx vivre en paix, / Escoute, voy, souffre et te taix.
Texte entier, d'après Narbonne, BM, 6. Voir Cambrai, BM, 812, f. 21.
- Incipit,
2e proverbe :
Qatre personnes sont d'un acord / La mort prent le floyble et le fourt / Le prestre prent le vif et le mort / le sergent prent a droyt et a tort / La putain prent le bel et le lort.
Texte entier d'après Narbonne, BM, 6. Morawski, p. 83 (appendice I, quatrain IV).
- Incipit,
3e proverbe :
De ses huit choses Dyeu nos garde : / De famme qui se farde / De chayr sallee sans moustarde / De petyt disner quy trop tarde
D'après ms. Narbonne, BM, 6 (voir Morawski, 1924, p. 97, appendice II, quatrain XII).
- Incipit,
4e proverbe :
Qui se garderoit de plaider / Du jeu de dez et du tabler / De la meyson du tavernier / Et du trou d'anpres le fessier / Asses aroit a boire et a manger.
Texte entier d'après ms. Narbonne, BM, 6. Voir Morawski, 1924, p. 56, n°CLIX et p. 84, n°VII de l'appendice I.
- Incipit,
5e proverbe :
Qui de felon faict son portyer / et de traitter son conseiller, / D'un yvrongne son bouteyllier / Et d'un rongneux son patycier / Et d'un pugnaiz fait son barbier / Et d'un villain son escuyer / Et d'une putain sa moulhyer / Ne peut mourir sans encondrier.
Texte entier d'après Narbonne, BM, 6. Voir Morawski, 1924, p. 29, n° LVI.
- Incipit,
6e proverbe :
Qui bien se myre, bien se voyt ; Qui bien se voit, bien se congnoist ; Qui bien se congnoist, peu se prisse ; qui peu se prisse, saiges est.
Texte entier, d'après Narbonne, BM, 6. Voir Morawski, 1924, p. 33, n° LXXI.
- Incipit,
7e proverbe :
Qui vive veult et souffrir peult / Partie voit ce qu'il veult.
Texte entier, d'après Narbonne, BM, 6. Voir Morawski, 1924, p. 85, n°X de l'appendice I
- Incipit,
8e proverbe :
Qui plus despent qu'a luy n'affiert / Sans coup ferir a mort se fiert ; / C'est trop follement despendu / Quant pour despendre on est pandu.
Texte entier, d'après Narbonne, BM, 6. Voir Morawski, p. 15, n° XLIX.
- Incipit,
9e proverbe :
Il est fol quy fol boute / Il est fol qui fol escoute
D'après Narbonne, BM, 6. Voir Morawski, p. 82, appendice I, n°1.
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