>A rapprocher de
: Anonyme|Manière de langage (1396)|En noun de la glorius Trinité, trois persons et un soul Dieu omnipotent, creour de monde, qu'est et a esté, et sanz fin regnera, de qui vient toute grace, sapience et virtu, faiceons priere a luy devotement que luy plese de sa graunde mercy et grace
>A rapprocher de
: Anonyme|Manière de langage (1399)|Cy comence un petit livre pour enseigner les enfantz de leur entreparler comun françois. Pour ce sçachez primierement que le an est divisé en deux, c'est assçavoir le yver et la esté
>Rory G. Critten, Practising french conversation in fifteenth-century England, The Modern Language Review, 110/4, 2015 : p. 927-45
>Jocelyn Wogan-Browne (éd.), Thelma S. Fenster (éd.) et Delbert W. Russell (éd.), Vernacular Literary Theory from the French of Medieval England, Cambridge, 2016
>Richard Ingham, The Maintenance of French in Later Medieval England, Neuphilologische Mitteilungen, 115, 2014 : p. 425-448
>ANDRES MAX KRISTOL, Que dea! Mettes le chapron, paillard, com tu parles a prodome! La représentation de l'oralité dans les Manières de langage du XIVe/XVe siècle, Romanistisches Jahrbuch, 43, 1992 : p. 35-64
>Andres Kristol et ANDRES M KRISTOL, Manieres de langage (1396, 1399, 1415), Anglo-Norman Text Society, Plain Texts Series, 53, Londres, Anglo-Norman Text Society, 1995
>Paul Meyer, Les mss. Français de Cambridge. III. Trinity College, Romania, 32, 1903 : p. 18-120