11 référence(s)
>
Giuseppina BRUNETTI, Autografi francesi medievali, Biblioteca di filologia e critica, Roma, Salerno, 2014
>
Olivier Delsaux, « Variantes d'auteur ou variance de copiste : "l'escripvain" en moyen français face à la mouvance de ses manuscrits » in Le texte médiéval : de la variante à la recréation. Actes des journées d’études « Variance, variantes, variations », 14 mars et 17 octobre 2009 Cultures et civilisations médiévales, Paris, PUPS, 2012 p. 145-158
Commentaire : à propos de la relectue du ms
>
Olivier DELSAUX et Tania VAN HEMELRYCK, Les manuscrits autographes en français au Moyen Âge. Guide de recherches, Texte Codex et contexte, Turnhout, Brepols, 2014
Résumé : Répertoire de tous les mss français pour lesquels la critique a formulé l'hypothèse d'une autographie.
S'ouvre sur une proposition de classification novatrice :
"- manuscrit autographe : manuscrit entièrement transcrit par l'auteur
- manufacture autographe : manuscrit supervisé par l'auteur, où son intervention est visible (...)
- manuscrit auctorial : manuscrit supervisé par l'auteur (...)
- manuscrit original : manuscrit contemporain du texte et en possession du dédicataire ou de l'auteur (...)"
Recension : G. Brunetti in Revue de Linguistique Romane 81 (2017)
>
Mario EUSEBI, Antoine de La Sale. Saintré, Tomes I et II, Classiques français du Moyen Age, 114-115, Paris, Champion, 1993-94
Résumé : CRScriptorium 48/2, 1994, Bulletin codicologique n° 441 Moyen Français 35-36 (1996) 239-240, G. Di Stefano: permet de lire avec assurance le Saintré dans une rédaction qui remonte hors de tout doute à Antoine de La Sale. PM 20 (1994) 127/ Bellon, Roger RLiR 58 (1994) 591-592 / Roques, Gilles (Vol. 1);MAevum 65 (1996) 330-331 / Taylor, Jane H.M. (Vol. il);RF 107 (1995) 474-478 / Penzkofer, GerhardMots-clés :Antoine de la Sale: Jean de Saintré//Jean de Saintré: Antoine de La Sale//*paris bn nafr 10057// ed
>
Michel ZINK et Geneviève HASENOHR, Pages manuscrites de la littérature médiévale, Lettres Gothiques, Paris, Le Livre de Poche, 1999
Résumé : CR Varvaro in Medioevo Romanzo 24 / 3 2000, p.467-468
>
Anne Korteweg, « La Collection de livres d'une femme indépendante : Marie de Luxembourg (v. 1470-1547) » in Livres et lectures de femmes en Europe entre Moyen Age et Renaissance, Turnhout, Brepols, 2007 p. 221-232
Résumé : Pour chacun des manuscrits mentionnés, se reporter à la précieuse bibliographie donnée en notes de fin d'article.
>
Sylvie Lefèvre, « Signatures et autographes. L'exemplaire Antoine de La Sale » in Auctor et auctoritas : invention et conformisme dans l'écriture médiévale, actes du colloque de Saint-Quentin-en-Yvelines (14-16 juin 1999), Paris, 2001 p. 429 - 456
>
Sylvie LEFèVRE, Antoine de la Sale. La fabrique de l'oeuvre et de l'écrivain, suivi de l'édition critique du Traité des anciens et des nouveaux tournois, Publications Romanes et Françaises, 238, Genève, Droz, 2006
Résumé : CR Doudet in Cahiers de Recherche Médiévale 14 (2007), p. 288 ; Fajen in Romanische Forshungen 120 (2008), pp. 251-3; CR Ven den Bergen-Pantens, Scriptorium 62, 2008, Bull cod 506; CR Szkilnik inn Fifteenth Century Studies 34, 2009, p.200-202
Commentaire : pp. 419-422
>
Sylvie Lefèvre, « Lorsque l'auteur se relit ? Antoine de La Sale et son Jean de Saintré » in Les manuscrits médiévaux témoins de lectures, Presses Sorbonne Nouvelle, 2015 p. 151-174
>
Gaston RAYNAUD, « Un nouveau manuscrit du petit Jean de Saintré » in Romania, 31 (1902) : p. 527-556
>
Hanno WIJSMAN, « Les manuscrits de Pierre de Luxembourg (ca 1440-1482) et les bibliothèques nobiliaires dans les Pays-Bas bourguignons de la deuxième moitié du XVe siècle » in Le Moyen Age, 113 (2007) : p. 613-637
Résumé : résumé sur le site de la revue : This article proposes an initial reconstruction of the library of Pierre de Luxembourg (c. 1440-1482), offspring of one of the most powerful noble families of the Burgundian court and Knight of the Golden Fleece from 1478. This high ranking individual must have owned at least thirty manuscripts. He acquired a third himself and inherited the other two thirds. From the methodological point of view, this is an interesting case. Indeed the cross-checking of leads – heraldic, emblematic, written ex-libris (sometimes later scratched out), inheritances and provenance – enabled links to be made between manuscripts. The reconstruction of the manuscript collection of one individual, who has up to now been completely ignored by studies on the history of libraries, constitutes one more argument in support of the thesis that forming a library was a social duty at the Burgundian court between 1450 and 1490. A nobleman who had spent his youth in the bibliophilic atmosphere of the court of Philip the Good between 1445 and 1467 was duty bound to collect beautiful manuscripts containing texts that were in vogue at the court. If we have little information about many of them, this is due more to a lack of sources rather than any lack of interest in this fashion on their part.
Commentaire : p. 618